Pinterest, what’s the interest ?

Réseau social très en vogue en ce début 2012, Pinterest fait l’objet de beaucoup d’attention, si bien qu’on commence même à le voir figurer dans des offres d’emploi. Qui est donc ce nouvel acteur qui suscite tant l’intérêt des community managers ?

Pinterest, dont le nom de compose d’un joli jeu de mot entre « pin » (= épingle) et « interest », ne cesse d’être évoqué par les aficionados du web. Le principe est de créer des tableaux de bord dans lesquels vous affichez (ou plutôt accrochez) des images et des vidéos en fonction de vos centres d’intérêt. Vous n’êtes pas obligé de ne diffuser que vos productions, puisque le but est justement de partager vos trouvailles dénichées sur le web. Question propriété intellectuelle, l’adresse du site où est hébergée l’image apparaît automatiquement.

Petite démonstration.  J’ai créé un « board » intitulé « London », dans lequel je vais ajouter plein de photos de ma ville préférée :

Pinterest

Pinterest - Board London

Il est aussi possible de réaliser un « repin ». Si vous pensez aux retweets, vous avez tout juste, puisqu’un « repin » constitue l’équivalent d’une retweet, avec les images et les vidéos. D’ailleurs comme dans Tweeter, on retrouve les notions de following entre les membres. Cerise sur le gâteau, vous pouvez commenter et « aimer » les publications.
Pinterest  - boards
L’inscription n’est par contre pas chose aisée. En effet il faut  recevoir une invitation pour pouvoir profiter des services de Pinterest, ce qui peut parfois s’avérer un peu long.

Vous l’aurez compris, Pinterest est un site très orienté partage, mélangeant les fonctionnalités de Twitter, Facebook, Youtube et Flickr à la fois. L’interface est simple d’utilisation et très agréable. Personnellement je l’ai déjà adopté !

La Ruda tire sa révérence

La Ruda, anciennement nommée la Ruda Salska, groupe de ska rock bien connu dans le milieu alternatif français, vient d’annoncer sur sa page Facebook qu’elle mettrait fin à sa carrière en 2012 :

« Après 10 albums, plus de 250 000 exemplaires vendus, 1000 concerts et quelques centaines
de milliers de kilomètres parcourues, La Ruda a décidé d’inscrire le mot « fin » à son activité musicale
au terme de l’année 2012. Née en 1993, elle aura alors 20 ans et il sera temps pour elle de céder la scène, fière d’un destin accompli.

La Ruda remercie toutes celles et ceux qui lui ont fait l’honneur de la soutenir au cours de ces belles années
et LA RUDA vous donne rendez-vous pour cette dernière tournée, fidèle à ce qu’elle a toujours été… Rock’N’Roll à souhait ! »

S’il n’a jamais obtenu la notoriété d’un Noir Désir ou d’un Louise Attaque, le groupe s’est à de très nombreuses reprises lancé dans de grandes tournées, remplissant les salles de concert de la France entière, appréciant leurs concerts festifs et énergiques. Mélangeant habilement les cuivres tantôt au rock, tantôt à une instrumentalisation plus acoustique, la Ruda s’est aussi distinguée par des textes très travaillés.

Pour ceux qui ne connaissent pas, voici une compilation de quelques-unes de leurs vidéos :

 

 

 

 

Revue de web de novembre 2/2

Ramdam du web

Facebook sortirait son propre téléphone.

Mark Zuckerberg s’attaque à la téléphonie mobile. En effet un téléphone Facebok serait prévu pour fin 2012 ou 2013. Vraisemblablement HTC s’occuperait de l’objet, et Facebook des applications et de l’OS. L’article sur Le Monde.

Twitter, une mine d’or d’offres……..de stage ?

On a pas mal parlé récemment du rôle de Twitter dans la recherche d’un job. 4500 tweets par semaines seraient des offres ou des demandes. Or d’après l’étude de Semiocast, la moitié d’entre eux concerneraient des stages. En même temps dans les domaines de la communication web, les offres de stage abondent. Il est donc logique d’entre trouver beaucoup sur Twitter. L’article sur le blog du modérateur.

Take this lol’lipop

Télérama s’est récemment intéressé à « Take this lollipop », une application se connectant à votre comte Facebook et montrant dans un court métrage un psychopathe en train de fantasmer sur vos photos, et vous recherchant sur Google Map si vous avez indiqué votre ville. Le but est sensibiliser les âmes sensibles à propos du partage des données personnelles sur Facebook. Bien réalisé mais quand on s’y attend c’est moins excitant. L’article sur Télérama.

« L’entreprise de demain a mal à son e-mail »

Une réflexion très intéressante menée par Claude Super sur les problèmes engendrés par l’usage de l’e-mail dans les entreprises (infobésité, mauvais destinataire, pertes de temps…). Il met en avant les difficultés de cet outil face à l’aspect collaboratif des réseaux sociaux d’entreprise. Mais il n’oublie pas non plus de mentionner ses avantages.

L’article sur le blog http://infgov.net.

La théorie des 6 degrés de séparation obsolète à cause de Facebook.

Prends ça Stanley Milgram ! L’auteur de la théorie des 6 degrés de séparation vient de voir ses travaux remis en cause par une étude menée par l’Université de Milan. Celle ci a conclu que grâce à Facebook, le nombre maximum de personnes liant un individu A à n’importe quel individu B dans le monde est descendu à 4.

À lire sur Atlantico.fr.

Paysage médiatique français

MyTF1.fr lance le Tweet Replay

MyTF1.f a mis en place un dispositif pour revoir des séquences d’émissions via le livetweet. Par exemple, si par le plus grand des hasards, vous êtes fan de « Danse avec les stars » et que vous souhaitez évoquer les pas de Philippe Candeloro, une simple mention du hashtag #DALS et les autres pourront revoir la séquence en question. En effet dans votre  tweet figurera une petite flèche menant vers le passage de l’émission évoqué. C’est beau la social TV !

Si vous voulez voir comment ça marche, rendez-vous sur le site de TF1.

Les  difficultés  et les succès  de France Télévision

Les Inrocks évoquent les bides et les réussites d’une télévision publique qui continue à se chercher une identité. Un article très fouillé et bien expliqué.

L’article sur lesinrocks.com.

Culture à étaler

ReDigi, le MP3 cash converter

Le principe est tout à fait étonnant, voire absurde. Le site Redigi.com propose d’acheter vos fichiers mp3 usagés, un peu comme les magasins qui vous rachètent vos vieux jeux vidéos d’occasion. C’est une faille dans la loi américaine qui permet à ce site de voir le jour.

L’article sur Rue 89.

Décryptage du succès d’Intouchables

Olivier Beuvelet, comme beaucoup d’autres d’ailleurs, tente d’expliquer l’énorme succès du film Intouchables. Mais il le fait de manière brillamment  argumentée. Attention le billet est assez long, prévoyez une bonne vingtaine de minutes pour le lire !

L’analyse sur culturevisuelle.org.

Le Grand Webze, première émission à faire participer les twittos

Le concept

Le Grand Webze est un nouveau programme lancé par France 5 depuis le mois d’octobre. Présentée par le blogueur Vinvin et l’humoriste François Rollin, le concept est le suivant : « Pendant 70 minutes, les deux comédiens vont présenter des humains ayant tous un grain de folie et de talent, quel que soit leur univers. En compagnie d’un invité qui les accompagne tout au long de l’émission, ils s’appuient sur trois sujets d’actualité pour partager l’imaginaire de passionnés ayant été dénichés grâce aux réseaux sociaux. »

Diffusée un vendredi par mois, aux alentours de minuit, elle expose des intervenants tous plus farfelus les uns que les autres. Le but est de présenter au grand public encore éveillé des artistes issus de tous bords, possédant des talents ou des capacités un peu spéciaux. Cependant des sujets plus sérieux sont abordés. Ainsi lors de l’édition du 25 novembre, le hacking et la résistance sur Internet ont été traités, appuyés par les interventions d’acteurs directement concernés.

Lors des deux premières émissions, les invités venaient plutôt du milieu de l’humour. On a ainsi pu retrouver Alexandre Astier et Pierre Palmade. Les plus geeks se réjouiront aussi de retrouver JCFrog, auteur de petites chansonnettes drôles sur le  monde du web.

En interaction avec le web

Là où l’émission se veut innovante, c’est dans son lien direct avec le web. En plus des deux présentateurs, Florence Porcel, désignée « Miss Gazouillis », occupe le rôle de « live community manager » du Grand Webze. Ainsi tout au long de l’émission, elle communique avec les twittos via le hashtag #lgw et effectue des comptes rendus en direct sur les impressions de la sphère Twitter. L’émission fait de plus preuve d’une bonne pédagogie pour expliquer le fonctionnement et le jargon du web aux non initiés.

Le Grand Webze propose également sur son site un live, où des journalistes discutent en temps réel avec les internautes par une fenêtre de messagerie instantanée, et apportent des compléments d’information relatifs aux thèmes abordés. On peut poser des questions aux journalistes qui sélectionneront les meilleurs commentaires pour y répondre. Bien entendu, l’émission est diffusée sur le web. Et si vous la manquez, un replay est à votre disposition.

Bons et mauvais points

Bon points : Ce qui est très appréciable dans cette émission, c’est vraiment cet esprit de liberté, laissant place à la folie et à l’improvisation. Contrairement à des émissions calibrées, formatées comme le Grand Journal, soumises à un timing trop ponctuel et  où tout le monde est propre sur soi,  le Grand Webze mise beaucoup plus sur la spontanéité. L’atmosphère est conviviale et les membres de l’équipe inspirent la sympathie. On retrouve la prise de risque propre à la télévision des années 80-90, qui a désormais totalement disparu des écrans. Les thématiques abordées changent un peu de ce que l’on peut trouver ailleurs, et sont traitées avec plus d’ouverture d’esprit. Enfin la possibilité de donner son avis via le web offre un aspect participatif que l’on rencontre encore trop peu  sur le petit écran.

Mauvais points : L’émission est parfois un peu gâchée par des problèmes techniques, notamment liés au son. On remarque aussi parfois quelques petits blancs qui ont tendance à causer un manque de rythme. On regrettera aussi l’intervention des invités sur des sujets qu’ils ne maîtrisent absolument pas. Pierre Palmade paraissait un peu largué sur les problématiques liées au web, comme lorsqu’il suggère de légiférer Internet pour réduire les commentaires négatifs.

Pour plus d’information sur le Grand Webze, vous pourrez vous rendre sur leur site officiel http://www.legrandwebze.com/

On a testé pour vous…la page entreprise Google+

Le lancement de Google + ne cesse de susciter les commentaires et les réflexions sur les blogs de pros du web. Outil de community management absolu ou énième flop, les avis divergent sur cette nouvelle plateforme lancée par le géant de la recherche sur Internet. Depuis quelques semaines, G+ permet aux entreprises de se créer leur propre page. Tiens donc comme sur Facebook… En bon petit curieux, Word Weird Web a donc décidé de tester cette page entreprise, et de vous faire partager ses impressions.

1)  Créer la page

Bien évidemment, la création d’une page entreprise passe par la création d’un compte Google si vous n’en possédez pas encore. Créez ensuite votre profil sur Google +, à partir du +vous situé tout en haut à gauche. Il vous sera demandé de rentrer votre prénom USUEL ainsi que votre VRAI patronyme, afin que « les échanges sur le Web soient plus vrais que nature ». Soucieux de votre sociabilité, Google va ensuite vous suggérer de rechercher vos contacts Yahoo! et Hotmail afin de les ajouter à votre réseau. À vos cercles, prêts, partez ! Vous pouvez aussi de ne pas vous occuper de vos contacts pour le moment, mais vous passerez pour un pauvre sans-ami…

Votre compte est créé ? Super ! Maintenant passons à la création de la page entreprise. Pour cela, il faut se rendre tout en bas de la page d’accueil de votre profil, et cliquer sur « créer une page ».

Il vous est ensuite proposé de choisir une catégorie. Si vous réalisez une page pour une PME, vous êtes censé choisir « petite entreprise ou activité locale ». Pour les plus grosses organisations, on optera plutôt pour « Entreprise, institution ou organisation ». Si vous désirez faire la promotion de votre nouveau shampoing ultra-doux parfumé aux cinq agrumes, la catégorie « produit ou marque » est faite pour vous ! Une quatrième, « arts, divertissements ou sports » parle d’elle même dans son intitulé. Enfin si vous ne vous retrouvez dans aucune de ces catégories, Google a pensé à tout avec une dernière nommée « Autre ».

Quelles sont les différences entre toutes ces catégories ? Tout d’abord on ne vous demandera pas les mêmes informations. La petite entreprise n’aura juste qu’à fournir son numéro de téléphone, qui permettra à Google Map de la géolocaliser. Pour les autres, il faut indiquer un nom de page, une catégorie (santé, aérospatial, assurance etc.) et bien préciser si son contenu peut convenir aux moins de 18, 21 ans (l’adaptation française possède encore quelques petits défauts visiblement) et s’il concerne l’alcool.

2) Confectionner sa page

Une fois votre page créée et votre catégorie définie, G+ commence par vous demander de décrire brièvement votre activité, et de choisir l’image qui va représenter votre profil entreprise. Ensuite il vous est proposé de partager votre page auprès de vos cercles d’amis. L’effet viral peut commencer…

« Félicitations, vous venez de créer votre page Google+ ! ». En dessous de cet accueil chaleureux, diverses options s’offrent à vous.

  • Publier des contenus sur votre page : simples messages, photos, vidéos, liens et location. Vous avez la possibilité de choisir les cercles auxquels vous diffusez vos informations : clients, employés, fans etc.
  • Connecter votre site web à votre page grâce à l’intégration d’un badge comme celui ci  à insérer sur votre site.
  • Partager votre page entreprise grâce à la création d’un lien rien que pour vous !
  • Créer vos cercles de contacts.

N’oubliez pas non plus de renseigner la partie bio avec vos coordonnées, votre site web et une description plus longue de votre organisation.

Vous l’aurez constaté, la création d’une page entreprise sur Google+ est plutôt une tâche aisée. Il est possible en une bonne demi-heure d’avoir sa page tout prête à l’emploi.

3) Quelle différence avec une page Facebook ?

Comme la mise en place de ces pages entreprises a été élaborée dans le but premier de concurrencer Facebook, on est en droit de se demander quels sont les avantages, les inconvénients, les points communs et les différences entre les deux pages entreprises. Tout d’abord au niveau de l’apparence, force est de constater que les deux plateformes se ressemblent beaucoup. Sous chaque publication on retrouve le « like », le « commenter » et le « partager ». Un alignement d’images apparaît en haut de chaque page. Même la bio comporte les mêmes éléments : description et coordonnées. Google a tellement fait dans la sobriété qu’on dirait une copie assumée de la page Facebook.

Cependant sur le réseau de Mark Zuckerberg, la page entreprise propose quelques applications en plus : évènements, sondages, jeux concours, ou iframes. Autre élément important : les contacts ne peuvent pas publier sur une page entreprise Google+. Par contre grâce à Direct Connect, il est possible de tomber directement sur une page entreprise en ajoutant un + à une recherche Google. C’est pratique mais lorsque l’on ajoute « Facebook » à côté d’une marque, on a aussi de grandes chances de tomber sur sa page fan. Match nul sur ce point.

Au final on en déduira pour l’instant que les pages entreprises de Google+ sont utiles pour les organisations souhaitant montrer qu’elles sont à la pointe en matière de médias sociaux. Elles n’apportent rien de plus par rapport à leurs concurrentes, hormis une meilleure visibilité dans le moteur de recherche. Facebook a encore quelques longueurs d’avances, et profite de son fort ancrage dans les mœurs des internautes.


South Park rempile jusqu’en 2016 !

Pour récompenser le succès de South Park, la chaîne Comedy Central a décidé d’accorder 5 saisons supplémentaire à la série créée par Trey Parker et Matt Stone. Le dessin animé, connu pour ses histoires délirantes, son sens de la parodie et son humour alliant vulgarité et ironie, continuera donc d’outrer les Etats-Unis.

 

Google Music, une fausse bonne idée ?

Google Music

Site officiel de Google Music

Il est bien connu que sur le web, Google essaye de manger à tous les râteliers. Après sa tentative plus ou moins, plutôt moins pour l’instant, réussie d’investir le marché des réseaux sociaux, le leader des moteurs de recherche vient de mettre en ligne un nouveau service de vente de musique en ligne. Objectif n° 1 : venir marcher sur les plates-bandes de l’iTunes Music Store d’Apple.

Puisant dans les catalogues d’EMI, Sony Music et Universal Music, le service n’est pour l’instant disponible qu’aux États-Unis. Bien entendu, il sera possible de partager ses découvertes musicales à tous ses cercles de connaissances sur Google +. Évidemment la plateforme sera accessible sur tous les OS Androïd. A l’image de l’Android Market proposant plus d’applications gratuites que l’App Store, Google Music sera aussi plus généreux avec ses utilisateurs, avec de nombreux titres gratuits. On parle d’un par jour. Cerise sur le gâteau, jusqu’à 20 000 morceaux pourront être stockés en ligne gratuitement. Si l’on compte qu’une chanson dure en moyenne 3 minutes, cela fait donc environ 1000 heures de musique à disposition. De quoi s’occuper un moment.

On peut alors s’interroger sur le succès à venir de Google Music. Tout d’abord car les projets annexes de Google se sont à plusieurs reprises soldé par des échecs, comme le montre cette charmante infographie. Ensuite car l’impact réel de Google+ étant encore à démontrer, on pourrait également douter du succès du partage de ces musiques sur le réseau social. En effet celui ci est surtout fréquenté par les amateurs de nouvelles technologies, des aficionados du web social. Il est difficile d’y trouver beaucoup amis proches. Or ces amis proches sont les principales personnes à qui l’on souhaite partager notre achat du dernier album de Justin Bieber. Enfin tant que le téléchargement gratuit et peu légal demeurera aussi facile d’accès, une grande partie des internautes continuera à refuser de payer de simples fichiers numériques. Affaire à suivre.

Revue de web de novembre 1/2

Ramdam du web

E-reputation, who cares ?

Un article portant le nom d’une chanson de Georges Brassens soulève un débat sur la trop grande importance parfois accordée à la réputation des individus sur le web. L’auteur, Sylvain Léauthier, remet en question le personal branding et le culte de la personnalité sur le web.

À lire sur le blog Communication et Internet .

Le smartphone, notre nouveau despote ?

Stéphane Laporte apporte une réflexion sur notre asservissement à la disponibilité absolue. En effet, notamment à cause de l’émergence des smartphones, on se doit de toujours répondre, et dans la minute, à tous les mails, SMS et appels.

Rendez-vous sur le blog de Stéphane Laporte .

Vous faites quoi dans la vie ? Je suis cmmunity manager !

L’agence Anov, en partenariat avec Régionsjob, a récemment dévoilé les résultats de son enquête menée auprès de 454 community managers. Le tout représenté sous forme d’infographie. Elle apporte principalement des indications sur les salaires, les études menées, les tâches ou encore leur place dans l’entreprise.

Voir les résultats de l’étude sur le site de l’agence Anov .

 

Paysage médiatique français

Une nouvelle émission décalée sur France 5 : Le Grand Webze.

Diffusée un vendredi par mois sur France 5, le Grand Webze est une nouvelle émission fabriquée par France Télévision. Présentée par François Rollin et Vinvin, elle a pour but de présenter des artistes originaux à partir d’une trame venant d’un sujet d’actualité. Prochainement un article présentera plus en détail ce nouveau concept. En attendant vous pouvez visiter le site de l’émission.

Dechavanne réanime un talk show

Christophe Dechavanne a lancé le 16 novembre un talk show appelé Chac, diffusé sur TMC. Dans une formule assez similaire aux émissions qu’il a présentées à ses débuts, l’ancien présentateur de Ciel, mon mardi ! anime des débats d’actualité. L’innovation se situe dans le choix des thèmes, élaborés à partir des mots-cl »s les plus présents sur le web. Il en parle lui même dans une interview sur Première.fr .

 

Culture

Le groupe Birdy Nam Nam peu courtois avec ses fans Facebook.

Le site culturel de Libération a détecté un vif échange entre le groupe d’électro Birdy Nam Nam et ses fans. Le raison ? Un concert annulé quatre jours avant la date prévue à Strasbourg. Cette annulation a provoqué la colère des fans, qui ont manifesté leur mécontentement sur leur page Facebook. Visiblement les DJ semblent particulièrement apprécier le terme « connard », employé dans plusieurs messages. Un post d’excuse est venu calmer le jeu, mais leur sympathie en a pris un coup.

L’article sur Next Libération.

Nightwish de retour !

Le plus grand groupe de métal symphonique a récemment mis en ligne le clip de Storytime, premier single de l’album Imaginarium qui sortira début décembre. La vidéo se présente sous la forme de making of d’un film. Niveau musique on retrouve la formule Nightwish avec guitares saturées, orchestrations symphoniques et chanteuse à voix de sirène. Il semblerait effectivement, d’après le site Nightwish.com, qu’un film portant le même nom que l’album sortira en 2012. Affaire à suivre.